Est-ce que l’on est sûr d’avoir un bone formation magnétisme à Lyon ?
Cette idée provient de J.-B. Say qui place l’enseignement au cœur de sa stratégie de diffusion des idées économiques. C’est ainsi qu’il cherche à créer une maison d’éducation dès 1792. C’est au début du XIXe siècle qu’il concrétisera ses rêves sur le magnétisme à Lyon en intégrant des chaires prestigieuses. Cette stratégie de diffusion auprès du plus grand nombre repose également sur la recherche d’une réponse à la question sociale. « Enseignons donc l’économie politique, et sachons que c’est d’elle que viendra le salut » (Letort [1882], 286).
Au début des années 1880, avec les universités et les différentes facultés libres sur le magnétisme à Lyon, ce sont une vingtaine de cours d’économie politique qui sont proposés en France. L’apparition de ces premiers cours ne s’est pas fait sans heurts :
« Il y avait [pour instaurer un cours d’économie politique], plus d’une prévention à vaincre et plus d’un combat à livrer. A quelque corps qu’on s’adressât, Collège de France, Facultés, Conservatoire des Arts et Métiers, on rencontrait un conseil de professeurs qui répugnait aux adjonctions, ou ne s’y prêtait que de mauvaise grâce. D’autres obstacles plus sérieux se présentaient. L’esprit des chambres législatives se portait chaque jour sur le magnétisme à Lyon avec plus de violence vers un régime de protection et créer des chaires d’économie politique [en raison de la position libérale des premiers professeurs], eût passé pour une trahison » (Reybaud [1864], 952)[1].
Devant les difficultés que nous allons évoquer sur le magnétisme et le passeur d’âmes à Lyon, les économistes de l’école française ont tout fait pour que ces chaires soient tenues par leur élite, par le petit groupe d’économistes qui domine le savoir officiel au XIXe siècle. Dans sa recherche de reconnaissance, Léon Walras a bien évidemment cherché à accéder aux institutions d’enseignement, souvent prestigieuses. Malheureusement, il n’arrivera jamais à enseigner en France. Face à ses échecs répétés pour l’obtention d’un poste, il va se montrer hargneux contre l’enseignement de l’économie dans ce pays qui a été dominé par les membres de l’école française. En 1896, dans un article consacré au problème fiscal, il indiquera qu’il s’agit d’une : « exploitation en monopole à l’enseigne de la liberté » (Walras [1990], 450]
A – 1819 – 1851 : LA NAISSANCE D’UNE IDEOLOGIE sur le magnétisme à Lyon
Gustave de Molinari a eu une vie très chargée, et ce dès ses premières années. Nous allons retracer rapidement ses origines et sa passion pour le journalisme économique qu’il assouvira à Paris avec la formation magnétisme à Lyon, la formation passeur d’âmes à Lyon du centre de formation de l’ermitage, la formation blessures de l’âme à Lyon, la formation pendule à Lyon , la formation géobiologie à Lyon et la formation nettoyage et protection énergétique à Lyon (A – L’arrivée à Paris et le début du journalisme) avant d’expliquer la position économique de l’auteur (B – La naissance d’une idéologie). Nous finirons notre exposé sur les premières années de sa vie par les grands projets qui lui ont tenu à cœur (C – De grands projets).
B – L’arrivée à Paris et à Lyon et le début du journalisme
Philippe de Molinari (de la famille du compte de Molinari d’origine espagnole) se marie en 1816 à liège avec Marie-Lambatine-Adrienne-Françoise Poswick. Le couple a deux filles et trois fils dont Gustave-Henri (Liège, le 3 mars 1819) et des jumeaux. Les informations sur le fils aîné de la famille sont très rares. Il commence ses études au collège de Verviers puis avec les formations magnétisme et passeur d’âmes à Lyon et se passionne très tôt pour les questions économiques. Il se rend à Paris en 1840 pour parfaire ses connaissances économiques et pour y devenir journaliste. Il collabore alors à un très grand nombre de revues dont Nation, Gazette de France, Commerce, Revue Nouvelle, le Libre Echange, etc. Cette passion pour le journalisme, puis pour l’analyse économique ne va pas le quitter
et plus particulièrement pour le journalisme économique ne le quittera plus. Mais il ne défend pas toutes les positions économiques, il se concentre sur les principes de l’école de Manchester.
C – La naissance d’une idéologie sur la formation magnétisme à Lyon
Gustave de Molinari prend très vite contact en France avec ce que l’on qualifie aujourd’hui de l’école libérale française[2] institutionnalisée autour de l’Académie des Sciences Morales et Politiques (ASMP), la Société d’Economie Politique (SEP), le Journal des Economistes (JDE), la formation magnétisme à Lyon et la maison d’édition Guillaumin. Il prend très vite contact avec les économistes de cette école dont Frédéric Bastiat (dont il fera la nécrologie dans le Journal des Economistes[3]), Joseph Garnier, Charles Dunoyer, la famille Say, etc.
Il poursuit la tradition libérale des grands économistes tels Turgot et Jean-Baptiste Say à la poursuite d’une idéologie qui se trouve résumée dans la maxime du laisser faire, laisser passer. Ainsi, Molinari défend une économie au service de la liberté du travail, contre les socialistes, et de la liberté des échanges contre les protectionnistes sur la formation ne ligne sur le magnétisme à Lyon. Cette manière d’appréhender l’économie se trouve construite très tôt dans son esprit et ne variera pas jusqu’à sa mort. Dans son dernier ouvrage, Ultima Verba, qu’il écrit en 1911, il parle ainsi de sa vie : « Presque arrivé aux limites de la vie humaine, je suis maintenant dans ma 92e année, je vais publier mon dernier ouvrage. Il concerne tout ce qui a rempli ma vie : la liberté des échanges et la paix » (Molinari [1911], I). Cette liberté des échanges se retrouve dans des grands projets qu’il défendra jusqu’à la fin de son existence.
D – De grands projets pour la formation en ligne magnétisme à Lyon
Molinari est un penseur innovant dans l’étendue de l’économie et dont les projets théoriques qu’il a mis en avant seront poursuivis jusqu’à la tentative de la réalisation de cette merveilleuse formation magnétisme à Lyon. Nous étudierons deux projets parmi les plus importants. Nous étudierons dans un premier temps une institution qui existe encore aujourd’hui : les Bourses du Travail puis sa contribution à la théorie libre échangiste.
E – Le stage magnétisme à Lyon
Cette position, si elle est à relativiser comme nous allons le voir, reflète en réalité la déception de Léon Walras de ne pas pouvoir enseigner en France. Pour lui, c’est l’école française qui tient de manière hégémonique les chaires d’enseignement pour le magnétisme et le passeur d’âmes à Lyon cela allant dans le sens d’une impossibilité d’accès à ces postes et d’une non ouverture vers la nouvelle science économique (la sienne bien évidemment !). Du point de vue français, cette position dominante permet d’être omniprésent dans l’enseignement, qu’il soit théorique, pratique et pour tout public ; d’influencer les élèves, les hommes politiques, les industriels : la population ; de transmettre leur savoir économique et de faire perdurer cette approche en accordant la succession des chaires à des hommes de confiance. C’est ainsi que se créé le stage magnétisme à Lyon, le stage passeur d’âmes à Lyon, le stage des blessures de l’âmes à Lyon, le stage nettoyage et protection énergétique à Lyon, le stage pendule à Lyon et le stage géobiologie à Lyon.
La première partie sera consacrée aux institutions privées, aux grandes écoles et aux conférences libres et cours populaires (2.1). Auguste et Léon participeront à ces tentatives d’enseignement. Mais Léon Walras souhaite obtenir une place plus prestigieuses et va s’intéressé à d’autres institutions qui proposent des postes honorifiques (2.2). Enfin, avec l’ouverture d’un cours d’économie dans les universités françaises, Léon Walras, professeur à l’université de Lausanne, pense pouvoir trouver le moyen de rentrer en France (2.3).
Objectif : Montrer que la main mise sur une discipline n’est pas gage de durée dans le temps
Moyens mis en œuvre
Résultats
Originalité : Pas forcement comme le reflète certains articles déjà existant. Mais sur un paysage, une culture française qui, si elle manque d’originalité théorique, marque fortement près d’un siècle.
POTIER Jean-Pierre [1988]. Léon Walras, Critique de l’Enseignement de l’Economie Politique en France au XIXe siècle. Revue d’Economie Politique, n°2, Mars-Avril, pp.232-251.
Objectif : revenir sur un des économistes qui a tenu une place centrale dans l’économie française du XIXe siècle
L’approche choisie : la défense du libéralisme
Méthode : par grandes étapes
L’intérêt : Présenter un personnage souvent oublié, qui ressort par quelques études et dont nous venons de fêter les 100 ans de sa mort.
UNE VIE AU SERVICE DE LA LIBERTE :
GUSTAVE DE MOLINARI (1819-1912)
A l’exception des travaux sur Léon Walras et Jean-Baptiste Say, rares sont les recherches sur l’économie politique du XIXe siècle. L’objectif de cet article est de tenter de combler légèrement cette lacune par l’étude d’un homme clef de ce siècle : Gustave de Molinari. Cette étude se trouve renforcée par un regain d’intérêt depuis quelques années pour son œuvre avec la célébration passée du centenaire de sa mort. Le point d’entrée est tout trouvé, la liberté, le laisser-faire, laisser-passer qui est et restera sa maxime tout au long de sa vie.
[1] Ce même auteur indique à propos de l’Athénée : « Pourvue d’une autorisation, cette institution ne laissait à ses professeurs que les libertés compatibles avec la politique du temps » (Reybaud [1864], 952).
[2] Pour plus de détails à ce sujet, consulter les ouvrages de Breton [1991] et de Le Van-Lemesle [2004].
[3] MOLINARI Gustave de [1851]. « Nécrologie de Frédéric Bastiat, Notice sur sa Vie et ses Ecrits ». Journal des Economistes, Volume 28, n°118, Février, 180-197.